Avant de pouvoir insuffler notre ouate de cellulose, nous avons posé un pare-vapeur dont la fonction est bien sûr de contenir la ouate, mais aussi de réguler la vapeur d'eau qui s'y engouffrera.
La toile est donc tendue et maintenue par des liteaux qui recevront par la suite le plafond définitif, très certainement des lambris de peuplier. Entre chaque laies de pare-vapeur, on applique un scotche afin que l'étanchéité à la vapeur soit totale. La pose n'a pas été très compliqué, et en quelques heures de travail nous voilà avec un plafond provisoire certes, mais bien plus lumineux !
Merci à Xavier, Arnaud et Julien.